Pascale DENIZANE
femme médecine
Soins Quantiques


Une quête d’engagement, de guérison et de liberté
La vie m’a faite en plusieurs morceaux. J’en ai fait une œuvre.
Je m’appelle Pascale. Une femme aux mille vies dans une seule. J’ai rien fait à moitié. J’ai aimé, souffert, foncé, freiné, crié, ri, et souvent tout ça en même temps.
Je suis une énergie vivante. Libre. Parfois douce comme une plume, parfois tornade avec option tonnerre et éclairs. Une voix qui traverse, qui réveille, qui te secoue un peu — mais toujours avec amour (et un bon coup de pied au cœur si t’as besoin).
Je suis pas venue ici pour faire joli dans un coin. J’ai traversé pas mal de tempêtes, elles ont fait de moi une force qui avance, même quand ça secoue. »
Et au lieu de couler, j’en ai fait des voiles.
Aujourd’hui, je marche pas devant. Je marche avec. Pour éclairer les autres, ouvrir des portes, souffler sur les braises. Et si tu sens que ça pétille, c’est qu’on est déjà en train de se rencontrer.
L’enfant sensible
Petite, j’étais déjà « à part ». Pas déconnectée, non… Juste branchée sur une autre fréquence. Je captais tout : les non-dits, les silences lourds, les regards qui trahissent, les larmes qui veulent pas tomber. Même l’air, je l’écoutais. Et les murs aussi, parfois.
On me regardait bizarre. Les copains, copines se demandaient qui j’étais. Je crois qu’ils ne savaient pas trop. Je me souviens d’un copain qui m’a dit un jour : « Toi, tu es un cas ! »
Je parlais aux animaux, aux arbres, aux objets. Et souvent, ils répondaient. Pas avec des mots, mais tu vois ce que je veux dire. Ce monde invisible, je le connaissais depuis toujours. Il ne m’a jamais fait peur. Jamais. Moi, je pouvais plonger dans une mer en furie sans une once de crainte, marcher seule dans la forêt la nuit comme si j’étais chez moi. Les éléments, je les affrontais avec confiance.
Ce qui me faisait peur, ce n’était pas l’invisible. C’étaient les êtres humains. Ce sont eux qui m’ont blessée.
Mais chaque fois qu’ils me brisaient, la nature me recollait, et je devenais plus sauvage, plus vivante, plus libre.


La grande amoureuse
Je suis amoureuse de la vie. Et quand je dis amoureuse, c’est pas façon « licorne et paillettes » hein… Parce que parfois, elle m’a bien mis des claques.
Mais c’est plus fort que moi!
Je tombe.
Dans les yeux,
dans les silences,
dans les élans du cœur.
J’aime fort, je ris fort, je pleure sans filtre. Et si ça casse ? Bah je ramasse les morceaux, je respire un bon coup, et je continue. Parce que l’amour, pour moi, c’est pas une option, c’est une direction.
Et je parle pas que de l’amour roméo et juliette! Non. Je parle d’amitié sacrée, de tendresse spontanée, de liens d’âme à âme. J’y vais tout entière. Même quand on me dit « tu donnes trop ». Je préfère donner trop que passer à côté de l’essentiel.
La meneuse, la militante :
J’ai toujours été une fonceuse, portée par des causes qui me tiennent à cœur. Défendre les plus vulnérables est inscrit dans mon ADN.
J’ai combattu la pédocriminalité, milité contre les violences faites aux femmes et porté des projets engagés au sein de collectifs de comédiens. J’ai dirigé des associations, mené des études sur la représentation des femmes de 50 ans et plus dans l’audiovisuel, et interrogé leur impact au niveau sociologique.


Créative et amoureuse de l’art
Je crée pour dire ce que les mots ordinaires n’osent pas chuchoter. Par l’écriture, la peinture, la scène. J’écris des pièces, des chansons, des scénarios à quatre mains ou quatre cœurs. Je peins ce qu’on ne voit pas : les émotions, les âmes, les fréquences.
Créer, c’est mon souffle, ma rébellion douce, ma prière en couleurs. Quand je peins, je voyage ailleurs. Quand j’écris, je dénoue l’invisible. Et quand je monte sur scène, je deviens vivante puissance 10.Et puis, la plupart du temps, j’ai les cheveux dans les yeux, je m’en fous de mon apparence. L’inspiration, elle, se moque du look. Elle arrive quand elle veut, et moi, je dis oui.
L’actrice, l’enseignante
Le théâtre et le cinéma ont été mes grands terrains de jeu, mes premiers rêves. Pas pour jouer un rôle, mais pour être — être pleinement, explorer, traverser toutes les facettes que la vie nous empêche parfois d’exprimer.
Quand je monte sur scène ou devant la caméra, je ne joue pas, j’y crois. Je deviens chaque émotion, chaque vérité, parce que je suis authentique, sur scène comme dans la vie.
Le théâtre m’a révélé que je savais déjà faire, que je n’avais rien à apprendre pour « jouer ». J’ai toujours été cette femme entière, libre, qui refuse les cases. Depuis l’enfance, j’ai marché hors des sentiers, contredit les profs, refusé les vérités qu’on voulait m’imposer. Je sentais déjà que beaucoup de choses étaient du bourrage de crâne. Ce n’est pas ma famille qui me l’a appris, c’était en moi.
Transmettre, c’est créer. J’ai enseigné, mis en scène, formé, partagé cette énergie qui traverse.
Le théâtre, le cinéma, l’art, ce sont des jeux — des jeux sacrés — et des portes vers la liberté. Le secret ? Savoir jouer, s’amuser, retrouver son âme d’enfant. C’est ce que je dis toujours à mes élèves : amusez-vous, c’est là que la magie naît.


La guérisseuse
Pendant longtemps, j’ai planqué ce que j’étais. Trop de regards qui jugent. Trop de mémoires brûlantes dans mes veines, celles des femmes qu’on a jetées au bûcher pour leurs dons.
Depuis toujours, je ressens, je vois, je capte. Petite, je soutenais les plus fragiles dans la cour de l’école, j’aidais les inconnus que je croisais, les amis, les proches. C’était plus fort que moi : quand je voyais une détresse, je ne pouvais pas détourner le regard. Mes mains, ma voix, mon énergie étaient déjà en chemin.
Et en 2018, j’ai osé me montrer au monde. J’ai décidé d’assumer, de mettre mes dons au grand jour, au service de ceux qui veulent guérir, se reconnecter, respirer autrement.
Aujourd’hui, je vis l’invisible. Avec l’âme, avec ce qu’on ne voit pas mais qu’on sent dans les tripes. Et ça marche.
Je ne suis pas une magicienne. Pas une prêtresse.
Juste une femme qui voit, qui ressent, et qui accompagne ceux qui veulent rire, vivre heureux et ne plus vivre dans l’ombre de leur peur.
Je n’ai plus peur des flammes. Parce que maintenant… je suis le feu sacré qui brûle les peurs et nettoie les mémoires.
La libre
Motarde, amoureuse de la nature, accro à la liberté. Je respire à fond quand je roule, quand je me perds sur des chemins de terre, quand personne me dit quoi penser ni quoi faire.
Je me suis toujours débrouillée pour être indépendante. Argent, tête, cœur — je gère tout. Parce que pour moi, être libre, c’est choisir chaque jour comment je vis. Sans dépendre de personne, sauf de moi.
Et si tu me demandes pourquoi je roule sans carte ni GPS, je te réponds : « Parce que je sais où je vais… ou peut-être nulle part. Et c’est ça, la vraie liberté. »


L’amie
La sœur, l’épouse. J’ai aimé, perdu, retrouvé, pardonné. J’ai vécu des alliances vraies, des blessures qui marquent, des amitiés solides. Aujourd’hui, j’ai ma famille de cœur — celle qui tient, qui écoute, qui est là quand ça part en vrille.
Pour moi, les relations, c’est pas juste des liens. C’est des leçons, des échanges, des miroirs. Et parfois, des fous rires en plein drame. Parce que même dans les pires moments, on peut toujours rigoler un coup. C’est ça, l’humain.
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Le cheminement
Ma vie, c’est tout sauf linéaire. C’est une série de tempêtes et d’éclaircies, un mélange de rage de vivre, de quête et de fous rires au bord du vide. J’ai bossé dans tout et rien, traversé des mondes, croisé des gens qui m’ont changée à jamais. J’ai eu un guide pendant vingt ans, j’ai goûté au chamanisme, aux enseignements qui t’arrachent les masques et je suis devenue coach parce que, oui, j’avais besoin de comprendre et de transmettre.
Je ne cherche pas à plaire. Pas à vendre du miracle. Je donne ce que je suis, brut, sans emballage, pour ceux qui ont envie de bouger, de se libérer, de se réveiller pour de vrai.
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Je mords pas. Mais je dis les choses. Et parfois, ça secoue.